Je continue ma petite tournée des chanteurs qui m’ont accompagné et qui m’accompagne dans ma vie. Dans un autre article, j’ai abordé le thème du temps avec la chanson de François Béranger, Profiter du temps …
Aujourd’hui j’aborde le thème du temps qui reste… : un sujet qui nous préoccupe, certainement tous, après un certain âge… Comment y répondre ?
« Le temps qui nous reste à vivre est plus important que toutes les années écoulées. » écrivait Léon Tolstoï.
Je suis tombé récemment sur une interview de Bernard Lavilliers, une interview Post-it de Télérama,plus exactement et j’ai souhaité le partager avec vous. C’est la fin de la vidéo plus précisément.
On the road again !
« Le temps qui reste à écrire, le temps qui reste à vivre, ça ne m’obsède pas du tout… J’ai tellement frotté de très près la camarde, avec mes conneries… J’en ai fait hein, comme je dis dans « On the road again » : « On aimait bien que la mort nous frôle » (*)… Ça c’est vraiment vrai, c’est vraiment moi et mes amis … On est comme ça.
Moi, j’aime bien faire des choix, je ne me fais pas balader par la vie.. Je n’ai pas envie d’avoir l’air plus jeune, je m’en fous… Voila, je ressemblerai à un vieux briscard, dans 4-5 ans. Je préférerais ressembler à Hemingway avec une grosse barbe et des cheveux… Quoi qu’il s’est suicidé, ce con ! Mais bon ! Y en a d’autres comme Kessel, voila !
Je préfère ça que de faire le djeunes… Je trouve ça un peu ridicule personnellement. Donc, le temps qui me reste.. personnellement, je ne sais pas de combien il s’agit, mais j’ m’en fous ! voilà (rire) … C’est honnête ce que j’ai dit ! »
Et vous, comment abordez-vous cette question ? Laissez vos commentaires ci-dessous.
À très vite.
Rémi
Ref : Bernard Lavilliers, interview Post-it, mars 2014 [https://youtu.be/HLei4VssTSM]
(*) En fait les paroles sont « On attendait que la mort nous frôle »
Bonjour,
Et vous, comment abordez-vous cette question du temps qui reste ?